Eurovision

Eurovision, NATO-vision !

Ce spectacle plus vil chaque année est, tout comme le plan Marshall, l’aboutissement d’un long processus de vassalisation, mais aussi d’endoctrinement et de pourrissement des têtes du vieux continent.

La femme à barbe « Conchita currywurst », le Bilal Hassani embrassé et empuanti par un Jack Lang pitoyable (littéralement : un « moule à gaufre », comme l’était Robespierre), ne sont qu’une écume poisseuse, un relent, un reflux gastrique, un pet glissant sur une toile cirée et une mise en bouche digne du général Cambronne (qui ne mâchait pas ses mots, heureusement pour lui). Attendez-vous, pour l’occasion prochaine, à des messages subliminaux encore pires (sexualisation de l’enfance, tolérance, puis acceptation et promotion de la pédomanie) et satanisme festif, ludique revendiqué. Souvenez-vous de l’inauguration en Suisse du tunnel du Gothard… Vous verrez bientôt le diable sous toutes ses coutures à travers la performance d’un groupe irlandais hideux : Crown the witch. Comme chantait Pierre Dudan, la merde est dans nos murs et le ciel s’est éteint.

23 000 documents de l’OTAN ont été déclassifiés et mis en ligne en janvier 2023. Une école publique de Valence, GBN Gobernantia, spécialisée dans le « leadership et la haute administration » a démontré qu’un de ces documents préconisait la création d’un « festival de musique de l’Atlantique Nord ». Nous y voilà !

Sur les instructions de l’OTAN, le premier concours Eurovision de la chanson a lieu en mai 1956. L’OTAN a obtenu un outil de propagande à grande échelle ou, pour le dire autrement, un autre lavage de cerveau et une manipulation de masse, comme on peut le voir dans l’édition actuelle.

En résumé, le Concours Eurovision de la chanson a été conçu en 1955 par l’Organisation de l’Atlantique Nord (OTAN), sur le modèle du festival français de musique militaire connu sous le nom de «Nuits de l’Armée», qui s’est tenu entre 1952 et 1955.

Maudite engeance que ce pain maudit, comme celui de Pont-Saint-Esprit (expérience mortelle chimique à base de LSD, menée pendant l’été 1951 par les services de l’Oncle Sam qui nous veut, nous en veut et qui convoite tant de nos biens comme ceux de l’Ukraine au prix du sang des autres). Il a été pétri en 1955 quand le Comité de la culture et de l’information publique de l’ OTAN s’est réuni, avec pour invités le directeur de la RTF et celui de la BBC. L’Eurovision devait rassembler en un seul signal les différents pays européens (carte câble ou radio qu’il faut techniquement établir).

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs, les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. » De qui ce solennel avertissement ? D’un certain François Mitterrand, s’exprimant quelques semaines avant sa mort devant le journaliste Georges-Marc Benhamou, qui préparait sa biographie que devait publier Plon l’année suivante sous le titre Le Dernier Mitterrand. Dommage que, conscient du péril, l’ancien président n’ait rien fait pour le conjurer. Au contraire puisqu’il favorisa une bonne partie des dérives actuelles.

Franck Nicolle

(3 commentaires)

  1. Je n’ai aucune sympathie ni considération pour Ségolène Royal mais force est de constater qu’elle a été le seul politique français à réagir contre cette monstruosité qu’a été l’édition 2024 de l’Eurovision. « Ce n’était pas un concours de talent musical, a-t-elle aussitôt tweeté, mais un concours de laideur, de vulgarité, de grossièreté, d’exhibitionnisme (sanctionné par la loi mais diffusé à des millions d’enfants et d’ados !). Il faut espérer que pas un euro d’argent public ou européen ne soit allé à cette farce lugubre (à quelques exceptions près), et que les questions sur l’entreprise de costumes et de mise en scène qui a sévi et sur ceux qui l’ont choisie, puissent être posée… La culture, la musique et l’Europe doivent se respecter sinon personne ne les respectera plus. » Bravo !

  2. C’est tellement signé Putain,
    cette risible mise en cause bidon de l’OTAN dans l’histoire d’un radio-crochet inventé par un journaliste Suisse sur le modèle d’un concours italien.

    Quant à la pourriture Woke, c’est du marxisme qu’elle nous vient, historiquement par l’école de Francfort créée par les Soviets, plus récemment subventionnée par le Parti Communiste Chinois.

    Honte à Présent de se laisser infiltrer par un menteur au service d’assassins génocidaires. Honte !

  3. Il ne s’agit que d’une information et non d’une opinion. Nous parlons de faits qui s’appuient sur des documents. Et que dire des documents suivants ?

    https://archives.nato.int/eurovision
    https://www.nato.int/acad/fellow/94-96/preda/029.htm

    De deux choses l’une : Soir ces documents sont faux et l’article est incorrect, soit ils sont vrais et l’article est valide.

    Quand on écrit et que l’on ne cite pas ses sources, il s’agit d’une opinion. Quand on les cite, il s’agit d’une information.

    L’hypothèse que vous soulevez à propos du KGB est tout à fait plausible. Il suffit d’écouter Yuri Bezmenov (passé à l’ouest) : « The Four Stages of Ideological Subversion » pour en tirer ses conclusions.

    https://www.youtube.com/watch?v=yErKTVdETpw
    Franck Nicolle

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