Des gamelles meles-meles ! Tous les membres du gouvernement n’en manquent pas, au cul ! comme disait Popeye… Et des bidons dons-dons… Ne sont il pas tousétoutes, ces ministres et ministresses, bidon ! Comme dans la chanson de Souchon… Allez ! Sonnez, casseroles triomphales ! Tonnez bidons, tournez râpes tambours… Et vous cloches des cathédrales, qu’attendez vous de vous ébranler comme aux grands jours ? Ca sent tout de même le roussi ! Ces cent jours d’opérette, cette mascarade grotesque, et ces humiliations sans cesses renouvelées. Comme écrivait Brasillach… La saison (pour la macronie) est encore moins sûre, voici le temps d’André Chénier…
Ailleurs, la dépouille du Caudillo a été exhumée de la « Valée de los caidos » et c’est maintenant le linceul de José Antonio (! Presente !) qui a été profané. Puisque les restes de Primo de Rivera ont été transférés récemment dans le cimetière madrilène de San Isidro, où sont enterrés plusieurs membres de sa famille. Son pays me fait mal… Quand sera-il guéri ? Nous sortirons alors les casseroles ou plutôt la poêle à frire qui a donné son nom à la paella. C’est le généralissime Francisco Franco qui a choisi cette recette comme plat national ! Sa volonté était de développer le tourisme, ce qu’il réussit à faire au delà de toute espérance, et de promouvoir une recette économique aux couleurs de l’Espagne unie, « grande y indivisible ». Le riz est donc coloré de safran qui lui donne une teinte jaune d’or et une saveur toute particulière, avec le rouge de la tomate (ce sont aussi les couleurs de la couronne d’Aragon et de la communauté de Valence). Que seraient les manifestations contre les libéraux qui se vautrent sans cesse dans leur veulerie, sans les casseroles dont Camille Gallic a si admirablement parlé ? Même Alexandre Dumas la déclare comme une arme dans son « Grand dictionnaire de cuisine » ! Je ne me suis jamais rendu compte cependant, qu’en cuisinant mon riz démarré à froid, j’utilisais un dispositif sonore portatif, interdit d’utilisation, par quelques obscurs préfets, lors des élans populaires et revendicatifs menés dans la rue contre le poudré à la coco et ses ministres pornographiques en goguette.
La rue appartient à celui qui y descends… Autour de nous la haine, autour de nous les dogmes que l’on abat… Et comme écrivait Dumas : « Il est inutile de recommander à tout cuisinier de tenir toujours bien proprement ses casseroles ».
Le maître préconise les casseroles à la bourgeoise et celles au riz à la reine, qu’entre toutes je préfère et dont nous devons l’intronisation en France à Marie Leszczynska, ou Marie Leszczyńska que l’on peut traduire par Marie de Leszno, reine de France par son mariage avec Louis XV en 1725. Nous lui devons les pâtisseries telles que les babas au rhum (à l’origine, kouglof sec que l’on arrose de tokay de Hongrie) et les nids d’abeille, transformées plus tard par un cuisinier polonais, Alexandre Micka qui s’était établi à Saint-Tropez. Notre BB nationale en était folle, quand « Dieu créa la femme ». Tout le monde aujourd’hui connaît cette tarte tropézienne, et Macron aussi en connaîtra le goût à l’instar de BHL, cet entarté chronique ! Allons, buvons un coups, buvons en deux à la santé des amoureux, à la santé du roi de France… Un chaudron sur la tête à Macron, une gamelle sur celle de Jean-Michel et toute la batterie sur ce gouverne-ment corrompu jusqu’à la moelle.
Franck Nicolle