L’information est donnée par Le Salon beige de ce 30 août et par Le Figaro, et elle mérite vraiment d’être relayée : ce lundi 28 août, les tribunaux ont enfin sanctionné l’un des extrémistes de gauche qui avaient attaqué une procession catholique, il y a deux ans.
Le prétendu « antifa », meneur de l’agression ulttraviolente, qui visait en premier chef des prêtres, des femmes et des enfants, a été condamné à dix mois de prison (mais avec sursis), et 800 euros d’amende, ce qui n’est pas cher payé, et risque de ne pas être suffisant pour décourager ce genre de persécuteurs. La partie civile était représentée par le diocèse de Paris, le curé de l’église Notre-Dame des otages, et aussi par l’AGRIF. Il faut dire que les motivations anticatholiques des agresseurs étaient évidentes, ce qui explique que, pour une fois, les autorités religieuses se soient constituées parties civiles, au côté de l’AGRIF, de fait.
L’agresseur en chef devra verser 1200 euros à l’AGRIF. Toutes nos félicitations à Bernard Antony, à Yann Baly et aux avocats de l’AGRIF.
Les condamnations sont certes légères au regard de la violence déployée par le camp islamo-stalinien, à cette occasion, et au regard du caractère anticatholique qui faisaient tomber l’individu ainsi que ses complices sous le coup de la loi relative aux manifestations de « haine raciale, religieuse ou en lien avec l’orientation sexuelle ». Mais c’est néanmoins une satisfaction et une victoire, quand on se souvient que certains grands médias n’avaient pas hésité à parler de heurts entre extrémistes, renvoyant ainsi dos à dos agresseurs et agressés, voire d’une « provocation des intégristes catholiques d’extrême droite ».
François Solchaga