Très (trop) souvent, les hommes politiques se montrent davantage mesuré, nuancé et inspiré quand ils se trouvent éloignés des postes de pouvoir qu’ils ont occupés.
Ainsi, l’ancien président français s’est déclaré favorable à un règlement « diplomatique » de la crise ukrainienne, estimant que le refus d’une telle solution pourrait conduire à la destruction de ce pays et à une guerre mondiale.
« Il y a deux façons de résoudre le conflit: soit l’anéantissement de l’autre, et je mets en garde, on ne va pas anéantir la deuxième puissance nucléaire du monde. Le monde risque de verser dans une guerre totale. Soit la discussion diplomatique », a-t-il notamment déclaré dans une interview accordée à BFMTV.
Nicolas Sarkozy a également déclaré qu’il pensait que le dialogue avec le président russe Vladimir Poutine était toujours possible. « On me dit que Poutine a changé et qu’on ne peut pas discuter avec lui. Ceux qui disent cela n’ont jamais rencontré Poutine. J’ai eu peut-être 80 conversations avec lui », a-t-il indiqué. Dans le même temps, M. Sarkozy a admis que ces conversations étaient parfois « très dures ».
L’ancien président français avait déjà appelé à des discussions sur l’Ukraine à la mi-août dans une interview accordée au journal Le Figaro. Il a également déclaré que le retour de la Crimée sous le contrôle de Kiev était illusoire et que la vocation de l’Ukraine était d’être un pont entre la Russie et l’Europe, et non d’adhérer à l’Union européenne.
La rédaction
Pas un mot de sarko sur les populatio s russes du Donbass visées quotidiennement par les Ukrainiens avec les canons français Caesar.
Bilan du 16 septembre des bombardements de l’OTAN :
9 civils tués et 8 autres blessés dont un enfant. C’est la petite ville de Svetlodarsk au nord est de Gorlovka qui a subi la pire attaque, avec 2 missiles Himars qui ont frappé des immeubles résidentiels et ont tué 7 personnes.
Le massacre continue. Merci sarko, hollande, et macron.