Le Pen

« La Flamme ne s’éteindra pas »

Si, à La Trinité-sur-Mer, les Bretons se sont pressés en nombre aux obsèques de l’enfant du pays que, dans une grande dignité, ses filles, ses petits-enfants — dont Marion Maréchal — ses deux épouses successives, Pierrette Lalanne et Jany Paschos, et ses amis les plus proches, dont Bruno Gollnisch, ont conduit jusqu’à sa dernière demeure, des hommages lui ont aussi été rendus dans plusieurs villes.

A Nancy notamment, ainsi qu’à Paris. Dans la capitale, Les Natifs se sont réunis (1) place des Pyramides, devant la statue de Jeanne d’Arc, où le président du Front national déposait une gerbe, point d’orgue des défilés du 1er mai qui rythmèrent pendant des lustres la vie du mouvement.

Devant cette statue de la Sainte de la Patrie, « symbole de courage et de résistance », Les Natifs ont déployé dimanche matin une banderole portant ces mots : « Jean-Marie Le Pen, la flamme ne s’éteindra pas ! ». Un message fort pour « rappeler que ses idées et son combat ne disparaîtront pas avec lui, mais continueront à inspirer ceux qui luttent pour la préservation de notre identité et de notre nation », tant il fut « un infatigable guerrier, un homme qui, contre vents et marées, a su défendre ses convictions face à un monde qui voulait les faire taire ». Un homme qu’il convient donc de remercier « d’avoir tenu tête jusqu’au bout, d’avoir montré la voie avec ténacité et passion », dans la ligne de « Sainte Jeanne d’Arc, guide spirituelle et politique de son combat ». Qu’il repose en paix, « la flamme ne s’éteindra jamais ! » ont conclu les natifs.

Le Pen, un civilisé à Suez

Une manifestation spontanée mais réconfortante après les profanations « festives » de la place de la République après l’annonce de la mort du Menhir. Exhibitions répugnantes mais bien dans la ligne des tricoteuses et des sans-culottes qui, pendant la Terreur, mutilèrent les cadavres des gardes suisses fidèles à Louis XVI et de l’infortunée princesse de Lamballe victime des derniers outrages. A l’inverse des sauvages de la République, on rappellera que, lieutenant du 1er REP pendant l’expédition de Suez en 1956, le député (en congé) Le Pen, lui, fit inhumer les soldats égyptiens tombés au combat selon le rite coranique, tournés vers La Mecque. Une marque de respect qui impressionna beaucoup les officiers supérieurs français, dont le général Massu, mais aussi britanniques. Il est vrai que le présumé « tortionnaire », comme l’appelle Libération, était un homme civilisé, au contraire des dégénérés gauchistes.

La Rédaction

  1. #NatifsParis #HommageÀJeanMarieLePen

Des messes commémoratives auront lieu le jeudi 16 janvier, notamment à 

– PARIS Vème : à 11 heures en l’église Notre-Dame du Val-de-Grâce, dans le haut de la rue St-Jacques 

– NICE : 15 heures en l’église du Vœu, 2 rue Alfred Mortier,  près de la place Garibaldi 

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