Un rapport de l’Insee souligne qu’un quart des ménages vivent aujourd’hui dans un logement dont l’utilisation est bien inférieure à la capacité d’occupation. Ces chanceux, qui – par le fruit de leur travail ou par héritage d’un patrimoine familial bâti au fil du temps (ou les deux) – ne sont pas condamnées à l’entassement seront-ils bientôt contraints d’accueillir quelques uns des 4 millions de « mal-logés », souvent immigrés, comptabilisés en France?

La liberté et l’indépendance ont un prix, faites un don au Nouveau Présent!