Nice

28 octobre : Nice n’oublie pas

Un rassemblement solennel aura lieu ce mardi 28 octobre devant la basilique Notre-Dame de l’Assomption. Nous rendrons en effet hommage aux Niçois —lâchement assassinés par un terroriste islamiste le 29 octobre 2020 — devant ce même lieu.

Treize jours après la décapitation du professeur Samuel Paty par un jeune musulman tchétchène,le clandestin tunisien Brahim Aouissaoui, 23 ans, pénètrait en effet au petit matin dans la basilique, égorgeait deux fidèles, Mmes Nadine Devillers et Simone Bareto Silva, ainsi que le sacristain Vincent Loquès. Puis, dans sa fuite, le dijhadiste agressait deux amis du sacristain, présents dans l’église et qui tentaient d’intervenir, et les cinq policiers municipaux finalement parvenus à le neutraliser. Après avoir plaidé une totale amnésie à son procès, Aouissaoui a été condamné le 26 février 2025 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté incompressible. Verdict dont il a aussitôt fait appel.

Nous nous rassemblerons pour honorer la mémoire de ses victimes, tombées sur notre sol parce qu’elles étaient françaises et chrétiennes. 

Cinq ans après, Nice n’oublie pas.

Nous n’oublions pas le sang versé, ni le laxisme coupable qui a permis à cet islamiste de traverser nos frontières pour frapper au cœur de notre ville.

Nous refusons l’oubli, nous refusons la soumission.

Pour Nice, rendez-vous mardi 28 octobre ! 

Nous nous rassemblerons en amont devant l’arrêt du tram n°1 Jean Médecin (entre Nice Etoile et Monoprix) à 19h45 afin de faire un cortège silencieux jusqu’à la basilique. 

La demande de rassemblement a été déposée et un service d’ordre est prévu.

Benoît Lœuillet

  1. NDLR. Treize jours après la décapitation du professeur Samuel Paty par un jeune musulman tchétchène,le clandestin tunisien Brahim Aouissaoui, 23 ans, pénètre au petit matin dans la basilique, égorge deux fidèles, Mmes Nadine Devillers et Simone Bareto Silva, ainsi que le sacristain Vincent Loquès. Dans sa fuite, il tente de poignarder et blesse deux amis du sacristain, présents dans l’église, et les cinq policiers municipaux parvenus à le neutraliser. Après avoir plaidé une totale amnésie à son procès, Aouissaoui a été condamné le 26 février 2025 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté incompressible. Verdict dont il a aussitôt fait appel.

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