Malgré le mutisme des statistiques officielles à ce sujet, on discernait par recoupements (effectuées par le site Fdesouche notamment) la part importante de l’immigration dans le domaine des féminicides, même si les organisations féministes officielles se gardent bien de dénoncer le phénomène. Ainsi n’avaient-elles pas réagi au parcours pour le moins inquiétant de Djilali Bencherif, qui, sept ans après avoir poignardé à mort sa première épouse en Algérie, avait en 2019, et toujours à coups de couteau, assassiné sa seconde femme en Lorraine avant de fuir dans son pays natal (il a été condamné le 4 septembre par contumace à la réclusion criminelle à perpétuité par la cour d’assises de la Moselle).
A ces meurtres, faudra-t-il ajouter les infanticides ? Le 14 septembre à Perpignan a ainsi été retrouvé dans la baignoire du domicile de Salim B. le cadavre marqué de multiples ecchymoses et à demi-décongelé d’un garçonnet de sept ans, son beau-fils, qui avait évidemment succombé à ses mauvais traitements. Dans le même appartement se trouvaient ses deux petites filles, de deux et trois ans. Terrorisées et portant « des traces de traumatismes multiples », elles ont immédiatement été hospitalisées dans un état sérieux.
Frère de Salim et présent sur les lieux, Chérif B. avait-il participé aux sévices ? Une enquête a été ouverte pour meurtre sur mineur, tentative de meurtre, violence sur mineures par ascendant, séquestration, recel de cadavres et faux et usage de faux, le beau-père indigne ayant présenté un certificat de décès falsifié.
Les infanticides ne constituent pas, hélas ! une activité « sous tension » en France. Il est donc inutile de faire appel à de la main-d’œuvre importée.
La Rédaction