Confronté à un nouveau drame provoqué par la haine aveugle et meurtrière des bandes de banlieues, qui a coûté la vie d’un adolescent de 16 ans, quelles sont les premières réactions et les plus vive préoccupations des gros médias et des « élites » politiques? D’une part, minimiser le drame en parlant, sans honte, de « rixe » pour qualifier une opération punitive organisée par une bande armée, et d’autre part, mettre frénétiquement en garde contre toute « récupération politique ».
A quel degré de haine soi et d’ethno-masochisme faut-il être parvenu pour avoir si peu d’empathie pour son propore peuple et les tragédies qui le frappent ? Quel niveau d’aveuglement idéologique faut-il dépasser pour n’avoir que des préoccupations bassement politicardes face à la barbarie et la violence la plus abjecte ?
Punir les ignobles voyous coupables de ces actes, assurer enfin la sécurité des honnêtes gens, rétablir l’ordre dans les cités de non-droit, sont, pour ces gens sensés nous informer ou nous gouverner, des préoccupations de troisième ordre, passablement vulgaires même, comaprées à une seule obsession : ne pas « faire le jeu » d’une extrême droite d’autant plus fantasmée à l’heure où le RN se mue doucement mais sûrement en parti de centre-droit. Les calculs politiciens sont tout, l’intérêt général et le bien commun ne sont plus rien. Les larmes sur les plateau de télé, les minutes de silence à l’Assemblée, les tribunes de sportifs ou de vedettes de la chanson et du cinéma sont réservées à d’autres…
Ainsi, on n’a même pu voir, sur le plateau du « 20 heures » de Laurent Ruquier sur BFM TV, un débat vomitivement intitulé « Drame de Crépol, du pain bénit pour l’extrême-droite ? ». Il suffit d’imaginer le scandale absolu qu’aurait suscité une telle interrogation posée après la mort du jeune Nahel – « Pain bénit pour l’extrême gauche ? » ou « Pain bénit pour les émeutiers des cités » ? – pour constater l’effarante indécence et l’incroyable parti pris de ce monde journalistique pour qui, très clairement, les français sont devenus des citoyens de seconde zone sur leur propre sol. Thomas, jeune rugbyman de 16 ans sans histoire, n’est pas une victime innocente d’une nouvelle barbarie, c’est un potentiel argument politique contre l’immigration incontrôlée et le laxisme judiciaire, son martyr doit donc être minimisé, relativisé même (certaines voix osent commencer à « expliquer » – donc excuser – la fureur meurtrière des assaillants par le fait qu’ils auraient été refusé à la fête) et très rapidement remisé dans les catacombes de la mémoire collective, avec Lola, Axelle et tous les autres. Circulez, il n’y a rien à voir, ni à faire, c’est bien malheureux mais c’est ainsi, passons à autre chose !
Pourtant, tout au contraire, une « récupération politique » est non seulement souhaitable mais également impérative. Non pas pour « faire élire » Marine Le Pen ou un autre candidat à là magistrature suprême, non pas pour faire gagner des adhérents et des électeurs au RN ou à Reconquête, mais tout simplement pour que des décisions fortes, cohérentes et radicales soient enfin prises pour que cesse cette litanie de meurtres, de lynchages, d’égorgements, de viols et autres abjections désormais quotidiennes. Nous n’accepterons jamais d’être un troupeau de moutons conduits sans bruit ni réaction à l’abattoir par peur maladive de contrevenir au politiquement correct et à la nouvelle religion du prétendu «antiracisme ». Ce n’est pas là une question de « politique », c’est une question de dignité, et de survie.
Xavier Eman
Après la mort de Nahel, le p d r s’était empressé de pleurer sur son sort et d’accuser le policier, mettant ainsi de l’huile sur le feu dans les cités de non droit, puis le 1er ministre avait accusé le peuple qui s’indignait des destructions commises par les racailles. Après la mort de Thomas, le p d r se tait et le 1er ministre accuse ceux qui se recueillent en marchant silencieusement – faute de procession religieuse – de créer un débat politique.
Une marche silencieuse témoigne du haut niveau de civilisation du peuple assassiné. Alors que les dirigeants politiques abjectes se comportent comme des traitres, puisque c’est volontairement qu’ils ne protégent pas, depuis longtemps, le peuple qui se fait « planter », tuer, égorger, découper, violer, agresser, et qu’ils organisent toujours plus le grand remplacement décidé par leurs maîtres sionistes new-yorkais. Et le plan de la nouvelle « loi immigration », scélérate, continuera à mener le peuple vers les abattoirs sanglants. Jusqu’à quand ?
« A quel degré de haine soi et d’ethno-masochisme faut-il être parvenu »… Ce n’est nullementde l’aveuglement de la part de Macron et sa suite. C’est délibérément qu’ils laissent faire . Tant que les Français n’auront pas admis que c’est du sommet de l’ Etat que vient leur malheur, ils n’auront pas finis d’être humiliés, traînés dans la boue, victimes de l’Etat par la racaille interposée. C’est au sommet qu’il faut frapper, au plus vite .