Jean Marie Le Pen

Le caveau des Le Pen vandalisé : plus de pardon pour les Bretons !

Les enfants perdus de la haine ont réalisé un forfait, absurde, imbécile, iconoclaste, lâche et vilain (en plus d’être tout ce qu’il y a de plus improductif). Ils ont détruit, ces rageux, à coups de masse de chantier la croix, qui n’est pas à proprement parler une croix celtique, comme celle qui honore la mémoire de François Duprat ou de l’écrivain bourguignon Henri Vincenot sur leur tombe, mais une sorte d’hermine nimbée de mémoire celte, solaire et chrétienne.

Le gauchisme, maladie mentale

Le gauchisme et son appendice woke s’apparentent à une maladie mentale, à une monomanie qui leur fait haïr le sacré, le beau, le noble et qui les perd. La fierté, la noblesse, la sincérité, la quiétude, la dignité, la piété qui était palpables quand le Président a littéralement retrouvé la terre des pères, lors des obsèques et de la sainte messe, ne leur a-t-elle pas paru insupportable ? Ils ont rongé leur frein, ruminé leur aigreur, la bouche empuantie, le regard plein de bière ou de champagne bu à même la bouteille, et la tripe vilaine, le regard infesté en songeant avec Schadenfreude, cette joie mauvaise, à l’idée du malheur d’autrui.

Comme chantait Jean-Pax-Mefret dans un titre dédié au lieutenant Roger Degueldre : « Je ne vous garde pas rancune, je vous plains. »

Quand j’ai appris la nouvelle du départ de Jean-Marie, je n’étais pas triste, je me doutais bien qu’un soir le Dieu qui partout nous suit lui dirait la main sur l’épaule, va-t’en voir là-haut si j’y suis. Mais j’ai apposé sur la porte de mon casier au travail un vieil autocollant de 1988. « Le Pen Président ». J’ai accroché au revers de la boutonnière de mon lourd paletot de velours noir de compagnon, un pin’s (que j’avais acheté à une fête des BBR sur le stand du FNJ 91, fédération chapeautée par le député Maitre Georges-Paul Wagner) représentant le Menhir en caricature sous le trait d’un corsaire borgne et puis j’ai réalisé en son amical souvenir un kouig-amann qui n’a jamais été aussi riche en beurre ni aussi bon que celui-la !

Tout en le réalisant, je songeais à Carême, roi des chef et chef des rois, qui évoquait les trois cents ans d’invasions barbares en ces termes : « Lorsqu’il n’y eut plus de cuisine dans le monde, il n’y eut plus de littérature, d’intelligence élevée et rapide, il n’y eut plus d’inspiration, il n’y eut plus d’idée sociale. » On dirait du Degrelle !

Puisque tout le monde célèbre Alexandre Dumas, nous lui devons ceci : « Les incursions des nations fauves, qui durèrent pendant près de trois siècles, jetèrent sur la civilisation antique une nuit profonde. »

Bon sang de bonsoir, nous y revoilà ! L’Histoire sans cesse repasse les plats.

Voilà ma recette de kouig-amann de tradition par delà la mort !

2 bols de farine blanche, 1 cube de levure du boulanger, 2 bols d’eau, 200 g de beurre, 180 g de sucre en poudre.

Diluez la levure dans un bol d’eau. Formez un puit de farine dans un grand saladier. Versez l’eau saturée de levure. Touillez avec la main droite seulement. Ajouter de la farine de manière à obtenir une boule sèche se détachant des bords du saladier. Ajouter un peu d’eau avec la main gauche, au fur et à mesure pour obtenir une belle boule de boulange, molle mais

qui sait se tenir. Couvrir d’un torchon et laisser monter le levain à température ambiante pendant quelques heures. Remissez au frigo une nuit. Le lendemain qui chante, sortez la pâte et laissez-la se détendre pendant deux heures encore. Mettez une plaquette de beurre à mollir dans l’ambiance de votre cuisine. Préchauffez votre four à 180°C. Puis farinez un plan de travail, étalez la pâte de tout son long sur 40 centimètres et 20 centimètres de coté, farinez le dessus. Retournez la pâte; enduisez-la de morceaux de beurre partout sauf sur les bords, saupoudrez de sucre en poudre. Retournez l’appareil en six tours de main sur toute la longueur. Formez les bords. Garnissez un ou deux moules ronds à bord élevés de papier sulfurisé trempé à l’eau et essoré. Remplissez et foncez les moules, garnissez de quelques lichettes de beurre le dessus et enfournez à 215 °C pendant une bonne heure. Sortez et laissez tiédir avant de servir.

« L’ouvrage des méchants demeure périssable », écrivait Brasillach. Marion Maréchal a écrit quant à elle : « Vous avez détruit la tombe de nos ancêtres. Vous pensez peut-être nous briser le cœur, nous intimider, nous décourager ? Mais notre réponse sera de vous combattre toujours et encore plus fort, génération après génération ».

Wenn alle untreu werden !

Franck Nicolle

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