Qu’il paraît loin le temps où la délinquance violente et les conséquences délétères de l’immigration étaient circonscrites aux « cités » de banlieues et aux grandes métropoles, et où certains pouvaient encore espérer échapper à l’ensauvagement du quotidien en s’installant dans telle ou telle région « préservée » ! Cette époque est belle et bien révolue, car, aujourd’hui, c’est l’ensemble du territoire national, des villes moyennes aux plus petits villages, qui est touché par les maux tragiques causés par une immigration massive incontrôlée.
On apprend ainsi notamment, parmi une multitude d’exemples quasi quotidiens, qu’un « demandeur d’asile » soudanais a été jugé pour l’agression sexuelle de deux fillettes de 11 ans à Decazeville, une ville d’à peine 5000 habitants dans le département de l’Aveyron. Mais que faisait-il donc là ?
Les faits se sont déroulés le 26 janvier 2025 et le jeune soudanais, arrivé pour enrichir la France en 2023, n’a trouvé comme seule explication et justification que le fait qu’il « était saoul ».
L’agression a été commise dans la cité du Sailhenc, où il réside et où il a remarque deux jeunes filles de 11 ans, elles aussi « réfugiées » mais ukrainiennes. Les abordant à la sortie du cinéma, il tente alors de les embrasser, de les caresser puis passe sa main dans le pantalon d’une des victimes. Les deux fillettes parviennent heureusement à se dégager et à s’enfuir.
Pour la procureure Émilie Passier, « le manque d’explications » (sic!) du prévenu comme « le mode de passage à l’acte avec une filature » sont inquiétants et elle requiert trois ans de prison, avec incarcération immédiate, et une interdiction définitive de territoire national, qui restera sans doute inappliquée comme tant d’autres, avec bien souvent les conséquences tragiques que l’on connaît…
Une nouvelle fois toute l’aberration et la dangerosité d’une politique « d’accueil » migratoire effroyablement laxiste doublée d’une volonté de « disséminer » les migrants sur l’ensemble du territoire apparaissent de façon crue et criante. Et encore, dans ce cas particulier, les jeunes victimes ont pu échapper à leur agresseur importé… Mais la prochaine fois ? Car il y aura forcément d’autres fois, puisque rien n’est fait, absolument rien, pour que les choses changent… Cette inaction indigne est d’ailleurs aujourd’hui clairement une forme de complicité.
Xavier Eman
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