Quelle bêtise avait encore commise l’élève Macron pour que son ex-prof de théâtre le soufflette en public ? Prises par les photographes et cameramen vietnamiens ainsi que par ceux de l’American Press, les images ont fait le tour du monde, provoquant l’hilarité générale. On y voit L’Élyséen s’apprêtant à sortir de l’avion présidentiel à Hanoï où il effectue en couple une visite d’État, un bras vêtu de rouge lui assénant une gifle qui provoque son recul, avant qu’il ne réapparaisse sur la coupée, suivi de dame Brigitte arborant une superbe veste… rouge !
Dans un premier temps, ses conseillers hurlent au « faux document » pour, une heure plus tard et devant l’évidence, avancer cette explication pour le moins boiteuse : « C’était un moment où le président et son épouse décompressaient une ultime fois avant le début du voyage en chahutant… C’est un moment de complicité. Il n’en suffisait pas plus pour donner du grain à moudre aux complotistes. ». Toujours eux !
Faut-il en déduire que quand un époux torgnole l’autre, c’est une preuve de la complicité du couple ? L’argument risque d’être désormais très utilisé en Correctionnelle lors des procès pour violences conjugales…
Reste qu’après l’épisode de la vomitive Fête de la musique à l’Élysée dont, en 2018, et en présence d’une Première Dame épanouie et vibrionnante, la vedette avait été confiée à une troupe de travelos noirs, après l’insupportable scène de Saint-Martin où, la même année, le premier magistrat de France avait posé enlaçant deux multirécidivistes, également noirs, à demi-nus et dont l’un faisait un doigt d’honneur, s’allonge la liste des humiliations imposées à la France au vu du monde entier par un président toujours plus immature. Accusé d’inonder notre pays de fake news pour se venger de l’activisme pro-ukrainien de Macron, le Kremlin a ainsi ironisé par la voix de sa porte-parole Maria Zakharova : « Tiens, pour une fois ce n’était pas la main de Poutine ! »
Au Vietnam, où nul doute que Manu multipliera les repentances pour la colonisation de l’Indochine et les « crimes » commis par notre armée, comme il l’a fait en Algérie, un contrat aurait été conclu pour la vente de vingt Airbus à la compagnie nationale. Si cela se confirme, espérons pour nous consoler que ces avions seront payés rubis sur l’ongle.
Claude Lorne
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