Le 15 septembre, à partir de statistiques officielles, nous relevions ici (1) la part prépondérante prise par les allogènes dans la commission des crimes sexistes et des violences sexuelles (62% dans les transports franciliens par exemple, 14% d’entre elles étant commises par des Afghans, dont la présence dans l’Hexagone est pourtant marginale. La toute récente actualité judiciaire confirme la justesse de ces chiffres.
Le 24 septembre, Ahmed A., un infirmier sexagénaire, était mis en examen et écroué à Paris pour l’assassinat de son épouse qu’il avait criblée de coups de couteau avant de l’égorger, comme un mouton de l’Aïd.
Le 26 septembre, le parquet de Poitiers annonçait l’arrestation d’un clandestin afghan de 25 ans, auteur présumé du viol bestial à Niort, le 6 juillet dernier, d’une malheureuse octogénaire qui n’avait pas survécu à cette épreuve.
Le même 26 septembre, la cour criminelle départementale de Paris condamnait à 18 ans de prison Jordy Goukara, un SDF centrafricain, pour deux viols commis dans le même après-midi de novembre 2023, dont l’un sur la personne de Claire Geronimi, « engagée désormais en politique auprès d’Éric Ciotti » et donc « d’extrême droite », a souligné l’Agence France-Presse, comme pour minimiser l’horreur du forfait commis par Goukara. Lequel était alors sous obligation de quitter le territoire, une OQTF évidemment jamais concrétisée, comme plus de 90% de ces mesures. Pour sa défense, le Centrafricain a allégué que « ce jour-là, il avait envie de femmes », et était donc passé aux actes.
Une explication que les multiples associations féministes ont dû trouver recevable puisque, hormis celle (https://www.eclatsdefemme.com/) qu’a créée Claire Geronimi, aucune n’a manifesté la moindre indignation.
La Rédaction