Les prétendues « ingérences russes » dans les affaires américaines et notamment au cours des campagnes électorales ont été l’un des nombreux « feuilletons » médiatiques mis en œuvre pour à la fois diaboliser la Russie et tenter de discréditer Donald Trump, accusé de « complaisance » envers cette dernière.
Seul petit problème, l’existence concrète de ces fameuses « ingérences » n’a jamais été prouvée. Au contraire, plusieurs enquêtes menées aux Etats-Unis ont conclu à leur inexistence.
C’est notamment le cas du rapport du procureur spécial américain, John Durham, publié lundi, notant que le FBI a volontairement ignoré des faits incompatibles avec les allégations « d’ingérence » lors de l’enquête sur les liens avec la Russie attribués à l’ancien président américain Donald Trump.
Interrogé sur ce rapport, le porte-parole du Kremlin, M.Peskov a déclaré: « Ce n’est pas la première fois que les Américains lancent une vaste enquête très complexe, pour arriver à la conclusion qu’il n’y a pas eu d’ingérence [dans les affaires américaines] de la part de la Russie. »
La rédaction