Faites-vous partie des personnes qui se demandent comment il est possible que le monde politique, médiatique, de la haute fonction publique compte autant d’homosexuels revendiqués, alors que les enquêtes « scientifiques » (d’origine américaine et progressiste, le plus souvent) n’en décèlent que 1,5% à 4% dans la population totale ? Sont-ils plus intelligents ? Plus travailleurs ? Ou y a-t-il autre chose ? De la cooptation, par exemple ?
Les numéros 519 et 520 de la revue Fait & Documents répondent en grande partie à cette question, à partir du cas du dénommé Jean-Marc Borello, un puissant patron et lobbyiste très peu connu du grand public, mais installé au cœur du système macrono-socialiste. Ce proche de Macron, qui a ses entrées dans tous les ministères et à l’Elysée, bien entendu, homosexuel revendiqué, et dont le nom a souvent été cité dans des scandales liés à la drogue et à la pédophilie, est aujourd’hui à la tête d’un empire parapublic (c’est-à-dire payé par les subventions publiques, nos impôts) comptant 650 structures, 22000 salariés, et générant un chiffre d’affaires annuel de 1,26 milliards d’euros, le groupe SOS, spécialisé dans l’humanitaire de proximité. Le réseau recrute et place ses hommes dans la haute administration et dans les ministères, dans les partis politiques, spécialement chez les macroniens, explique F&D, noms et postes à l’appui.
L’enquête de Faits & Documents est sidérante, même si elle est essentiellement constituée de documents figurant, épars, dans le domaine public, de reprises d’enquêtes parcellaires publiées ailleurs au fil des années.
Ou bien ce que publie F&D est fortement exagéré, et nous entendrons parler bientôt de cette « enquête complotiste d’extrême droite », et de menaces de procès, ou elle est incontestable, et le dossier ne sera commenté nulle part, dans les principaux médias.
Faites-vous une opinion en vous procurant ces deux numéros (9€ pièce).
François Solchaga
F&D, 13 bis avenue de La Motte-Picquet Paris (7e), contacts@faitsetdocuments.com
