Dans un contexte de répression de plus en plus exacerbée contre les mouvements patriotes et identitaires, on pouvait craindre le pire pour les quatre jeunes militants poursuivis par la justice pour avoir défendu leur local face à aux bandes d’antifas et de voyous des cités. Ceux-ci avaient en effet profité des émeutes pour tenter de saccager le local et de lyncher ses occupants. Fort heureusement, pour une fois, la justice semble s’être montrée impartiale et avoir fait passer le droit avant les règlements de comptes politiques.
En effet sur quatre militants identitaires jugés jeudi 10 août par le tribunal correctionnel d’Angers pour des faits de « préparation de violence » , trois ont été relaxés, le dernier étant condamné à trois mois de prison avec sursis pour violences alors que le parquet avait réclamé des peines bien plus lourdes, dont de la prison ferme.
Les 4 militants étaient poursuivis pour « participation à un groupement armé ». Pour rappel, : des groupes antifas avaient tenté d’attaquer les locaux du Rassemblement des étudiants de droite, et avaient été repoussés par les militants attaqués. Pendant plusieurs nuits, militants antifas et racailles de cité avaient alos tenté, y compris avec des armes, de s’en prendre physiquement aux militants identitaires protégeant leur local. En réaction, prenant le parti des agresseurs face aux agressés,les autorités avaient fini par ordonner la fermeture administrative du local. Malgré plusieurs nuits de violences organisées, aucun « antifa » ni aucune voyou de cité n’a été interpellé, la répression policière et judiciaire visant exclusivement les jeunes patriotes assiégés.
Malgré le déchaînement des gauches demandant les têtes des militants du RED tout en excusant les pauvres « émeutiers » qui ont pillé et incendié la ville pendant plusieurs jours, les juges ont considéré que les quatre militants patriotes, âgés de 20 à 28 ans, avaient agi en « état de nécessité », proportionnellement à la menace à laquelle ils étaient confrontés. Deux d’entre eux étaient également poursuivis pour port d’arme. Les avocats de la défense ont plaidé la relaxe, faisant valoir l’état de nécessité, tel que défini par l’article 122-7 du Code pénal. Tout en considérant que l’infraction de participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences était bel et bien caractérisée, de même que le port d’arme, les juges ont fait primer l’état de nécessité, à l’exception du militant accusé de violences.
Se défendre n’est pas un délite. Espérons que cette décision fasse désormais jurisprudence et que le droit à faire face aux agressions des activistes d’ultra-gauche ou des voyous des cités soit enfin reconnu.
La rédaction ( avec Breizh Info)