« Je ne supporte plus de vivre autrement que dans un endroit où les gens sont mélangés… Je ne peux pas survivre quand il n’y a que des blonds aux yeux bleus, c’est au-delà de mes forces », par exemple en Normandie qui, il y a un demi-siècle encore, « était extraordinairement arriérée » et dont les habitants, « les malheureux, souffraient d’un alcoolisme épouvantable ». L’immonde individu qui s’exprime avec ce racisme exacerbé n’est autre que Jean-Luc Mélenchon, sur l’antenne en 2018 de Hit Radio (1).
Médiapart et Libération, ces fines équipes de traqueurs de nazistoïdes de tous poils, existaient déjà à l’époque et jouissaient d’une autorité incontestée. Pourtant, ils n’avaient pas cru devoir épingler Méluche. En revanche, Libé consacrait le 10 juin sa une et quatre pages entières aux « moutons noirs » du Rassemblement national, en réalité ramassis de dangereux « racistes, antisémite, complotistes » (2). Et, le 16 juin, Mediapart prenait la relève avec un dossier se voulant accablant sur les activités de Caroline Parmentier dans « le quotidien pétainiste » Présent dont, après y être entrée toute jeunette, elle était devenue après la mort en 2013 du cher Jean Madiran (présenté comme «ouvertement antisémite et antirépublicain ») « rédacteur en cheffe [sic] ». Multipliant, selon Fabrice Arfi et Antton Rouget, les enquêteurs-procureurs de Mediapart, les articles non seulement « racistes, antisémites, complotistes », mais aussi, horribile dictu, homophobes.
Du RN à Bayrou, flicage généralisé
Comme bien l’on pense, les entreprises de délation-démolition menées par les deux organes ont été immédiatement relayées par la presse « bourgeoise » et l’audiovisuel aux ordres. Trop heureux de discréditer ainsi le Rassemblement national — dont Caroline assure la vice-présidence du groupe à l’Assemblée nationale après avoir été élue en 2022 puis réélue en 2024 député du Pas-de-Calais.
Rien ne dit cependant que ce calcul se révèle productif.
Certes, et c’est tout à son honneur, notre ancienne consœur mais toujours amie n’était pas tendre avec les « voyous ethniques » ; elle avait déploré la toute-puissance du lobby homosexuel et les incitations constantes du Planning dit par antiphrase familial à l’avortement, et même qualifié des supporteurs de foot de « babouins ». Mais, outre que Darmanin alors ministre de l’Intérieur avait fait bien pis en attribuant aux seuls fans anglais les indescriptibles violences commises en mai 2022 par les « gamins des cités » à l’intérieur et autour du Stade de France lors d’un match opposant Liverpool au Real Madrid (énorme mensonge qu’il devait reconnaître ensuite), il n’est pas sûr que les électeurs du Béthunois ayant lu le rapport de police de Mediapart se scandalisent de ce qu’écrivait voici un lustre leur député. Et pour cause puisque ses articles reflétaient une réalité qu’ils subissent chaque jour. Certains pourraient même lui reprocher au contraire d’avoir assisté ès-qualités à l’inauguration d’une stèle en mémoire de Simone Veil et la trouver aujourd’hui trop modérée.
Au-delà du seul RN, les partis politique de droite et même du centre devraient d’ailleurs s’inquiéter de la chasse aux sorcières en cours. Mediapart vient en effet de viser une autre victime en la personne d’un certain Alexandre Perez qui, « sur le réseau social X, déverse depuis 2020 des dizaines de messages racistes et soutient les théories criminelles [re-sic] du grand remplacement et de la remigration […] sans que cela fasse réagir le Premier ministre ».
En effet, si cet illustre inconnu a ainsi été voué à l’opprobre public, c’est parce qu’il siège au conseil municipal de Pau dont le maire est François Bayrou. Bien entendu cible réelle de l’organe créé par le camarade trotskiste Edwy Plenel, ancien directeur de la rédaction du Monde, le locataire de Matignon va-t-il devoir lui aussi procéder à l’épuration de ses « brebis galeuses » et faire repentance ?
Claude LORNE
- https://www.dailymotion.com/video/x89ofga
- https://nouveaupresent.fr/2025/06/16/salopards-et-delateurs-parlons-en/
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Parmi les racistes (anti-blancs) carabinés, vous auriez pu ajouter l’acteur et réalisateur Mathieu Kassowitz qui, sur France 5 le 19 mai, s’était félicité qu’« il n’y ait plus de Français de souche » avant de préciser sur LCI le 25 que, « si, il y a des Français de souche, c’est ce qu’on appelle des fins de race ». Pas mal non plus, la « chercheuse» franco-ivoirienne Maboula Soumahoro maître de conférences à l’université de Tours, qui le 17 juin dans l’émission « « Sommes-nous tous racistes ? » sur France 2, a déclaré tout net : « Un homme blanc ne peut pas avoir raison contre une noire ou une arabe. Il ne peut pas, ce n’est pas possible. Et il va falloir que la France s’en rende compte .»
Le papier sur Caroline Parmentier et Présent est parfait, de même que l’article de Breizh info.
Ce genre de campagne est forcément éprouvant pour la « cible » alors que les Français se fichent complètement de ces pseudo-révélations, surtout dans le contexte géopolitique, politique et économique actuel, et pour des attaques qui viennent de la bande d’un Edwy Plenel, qui traine de sacrées casseroles (campagnes contre Baudis, apologie des khmers rouges etc.).
Dommage que les projecteurs soient braqués sur Présent à un moment où Présent papier n’existe plus ! Une telle campagne … d’extrême gauche aurait pu sauver le journal.
Mais bizarrement Présent n’était jamais cité, interdit de revues de presse, notamment sur les chaînes publiques. Un journaliste de France Inter qui l’avait cité fut mis au placard pendant tout le reste de sa carrière.
Les médias des sévices publics + Le Monde et le torchon néostalinien de Plenel ne découvrent Présent que trois ans après sa mise à mort !!! Curieux, non ?