Il avait la mine réjouie, l’œil coquin, l’air satisfait de lui-même quand il a appelé les jeunes Français au casse-pipe et les maires à préparer les monuments aux morts qui porteront les noms de ceux que le Pouvoir macroniste aura décidé de sacrifier à son ambition. Il ? L’aviateur Fabien Mandon, qui a vite gravi les échelons de la Grande Muette pour devenir chef d’Etat-major des Armées (CEMA) et joue maintenant les généraux d’opérette en tenant sur la menace russe, qui nous « frappera dans cinq ans », un discours belliciste qui a mis le feu aux poudres.
N’a-t-il pas affirmé que la France « devait restaurer sa force d’âme pour accepter de nous faire mal et être prête à accepter de perdre ses enfants ? » Des enfants qui, soit dit entre parenthèses meurent tous les jours sous les coups de couteau des musulmans radicaux qui prennent notre pays pour un terrain de jeu et ne sont pas sanctionnés à la hauteur de leurs crimes.
Pendant ce temps-là, en Ukraine, les enfants ukrainiens sont sacrifiés sur l’autel de Zelanski, empêtré jusqu’au cou dans un affaire de corruption mouillant tout son clan, et qui promet de nous acheter cent avions Rafale qui ne seront jamais payés. Même chose en Israel où Netanyaou envoie ses soldats au casse-pipe pour conserver sa place et éviter d’être traduit en justice. En France, Macron fait de même pour rester aux commandes jusqu’en 2027 et invente quantité de subterfuges pour s’affirmer comme indispensable avant de museler toute liberté d’expression et d’empêcher le pays réel de s’exprimer.
Il est aidé dans cette campagne de reconquête artificielle du terrain par Jean-Michel Baylet patron de la Presse Quotidienne Régionale (PQR) qui lui déroule le tapis rouge lors de ses virées régionales savamment organisées avec un public trié sur le volet et aux ordres de l’Elysée ou des différentes obédiences maçonniques qui quadrillent le territoire.
Pendant ce temps-là, l’extrême-gauche tisse sa toile, multiplie les atteintes à la liberté d’expression avec la complicité des macronistes – on l’a vu avec la pitoyable affaire de Verdun — mais aussi l’attitude inadmissible d’une droite veule et pleutre et d’un Rassemblement national qui, tel un perroquet, répète les mensonges sur Pétain et ose dire comme Bardella « que le PS a voté en 40 les pleins pouvoirs à Pétain », ignorant visiblement l’existence du Front populaire.
Aujourd’hui cette même extrême-gauche se fait les dents sur Franco en ayant réussi à faire annuler une messe à la mémoire du dirigeant espagnol en attendant, le 21 janvier prochain, de se faire les dents sur Louis XVI et Marie-Antoinette. Et pendant ce temps-là, Marine le Pen est muette comme un carpe, ne comprenant pas que nous sommes à la veille d’une bonne vieille révolution. Comme en 1917.
Françoise Monestier
Ne laissez pas s’éteindre les voix dissidentes, faites un don au Nouveau Présent !








