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Multiplication des « mineurs violeurs »

Interrogé dans La Croix du 16 septembre, Adrien Taquet, ancien secrétaire d’État chargé de l’enfance et coauteur d’un très officiel rapport sur les auteurs mineurs de violences, estime « à 11 500 le nombre de mineurs auteurs de violences sexuelles, chaque année en France, un chiffre qui a longtemps été ignoré parce que la question des mineurs auteurs de violences sexuelles est un impensé de notre société ».

M. Taquet admet que ce chiffre « peut paraître faible rapporté aux 14 millions d’enfants, mais il représente tout de même 30 % des auteurs d’agressions sexuelles sur mineurs. C’est loin d’être marginal. Et encore, ces données ne concernent que les affaires portées devant la justice. »

Nul doute que la plupart de ces juvéniles violeurs, souvent issus de familles décomposées, passent à l’acte après avoir été intoxiqués par la permissivité de notre époque et les innombrables vidéos de viol passant en boucle sur les réseaux sociaux. Mais, à l’heure où la natalité de souche ne cesse de dégringoler au profit du grand remplacement, ce phénomène n’est-il pas dû aussi à la présence massive sur notre sol de mineurs issus de races et de cultures différentes où n’existe qu’un respect très limité de la femme ? Comme le prouvent d’ailleurs l’attitude et les albums de certains rappeurs — en anglais, to rape signifie d’ailleurs violer.

C’est là un autre « impensé » que ceux qui déplorent à juste titre cette alarmante situation et les autorités — telle le Conseil régional de Centre-Val-de-Loire s’adressant à notre belle jeunesse — devraient prendre en compte d’urgence.

La Rédaction

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Un commentaire

  1. Le 18 septembre, article d’une page entière dans Le Parisien sur « les WC à l’école toujours aussi cracra ». « Surtout en banlieue parisienne où le problème des toilettes reste entier », observe Nageate Belahcen, présidente de la FCPE du Val-de-Marne. Et non seulement ils sont dégoûtants mais aussi tellement à risques que leur accès est interdit hors des temps de récréation, où ils ont surveillés, ou en cas d’urgence avec l’accord du CPE qui prête les clés à l’élève en détresse.
    Comme celui des enfants violeurs, ce phénomène ne serait-il pas lié à la présence dans l’école de la République de plus en plus de jeunes « issus de cultures différentes », comme vous le dites joliment ?

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