Le 14 juillet, jour de la fête dite nationale, une mère de famille quinquagénaire connaissait une mort atroce à Paris : volontairement projetée par un autre passager sur les voies du RER B à la station Cité universitaire, elle était percutée par la rame entrant en gare.
Bien que la victime fût algérienne, les médias ont été peu diserts sur ce fait divers. Serait-ce parce que l’assassin rapidement interpellé, alors qu’il était d’ailleurs en train de voler dans un magasin proche, est un Guinéen de 44 ans, Mamadou (transcription africaine de Mohamed), et que pour les professionnelles du féminisme, le seul féminicide qui vaille est celui commis par un mâle blanc ?
Et les pouvoirs publics n’avaient, eux non plus, aucun intérêt à donner trop de publicité à ce drame : selon Valeurs actuelles citant des enquêteurs de la PJ, le Guinéen, qui transportait des couteaux dans un sac, était « déjà connu pour tentative d’homicide », rien que ça ! Ce qui ne l’empêchait pas d’être libre comme l’air. Une enquête du chef d’assassinat est aujourd’hui ouverte à son encontre, mais nul doute qu’il sera reconnu frappé d’aliénation mentale au moment des faits puisqu’il prétend avoir « entendu des voix » lui ordonnant de tuer.
Rappelons que la France détient le record européen des homicides : 719 l’an dernier. Rien à voir, bien sûr, avec son autre record, celui de la présence — ou prégnance — allogène sur son sol.
La Rédaction
On apprend que « l’étranger » qui a poussé et assassine cette dame dans le métro vient d’être placé en hôpital psychiatrique sa garde à vue ayant dû être levée CQFD
En fait cette personne est un récidiviste déjà il avait commis le même acte en 2011. Heureusement à l’époque la victime s’en était tire sauve. I’auteur avait eu un non lieu car il avait été déclaré irresponsable. On est bien protégé en France