Ce n’est plus possible. Tout simplement plus possible, impossible d’accepter, de pleurer, de « faire notre deuil », de défiler en blanc, et de passer à autre chose, en attendant le prochain drame, le futur massacre, inévitable, inéluctable, déjà programmé…
Face à cette nouvelle horreur, la « récupération politique » de ces abjections devenues banales serait « indécente ». Indécente pour qui ? Pourquoi ?
Indécente pour tous ceux qui, par leurs dogmes irresponsables leur refus de la réalité, leur utopies désincarnées, leur calculs économiques et leur laxisme à géométrie variable, sont coresponsables de ces drames.
Indécente parce que l’on voudrait nous faire croire que ces crimes sont inévitables, impossibles à prévoir et à endiguer, qu’il n’y a pas de solutions, pas de réponses concrètes à y apporter. « Que voulez-vous ma bonne dame, c’est pas chance ! Il y a plein de gens, très gentils (ils sont toujours très gentils) et qui soudain deviennent des tueurs sanguinaires, c’est comme ça ! On n’y peut rien ! C’est la faute au « déséquilibre »… » Et le fait qu’ils aient souvent le même profil n’est qu’un détail insignifiant, voire, pour certains, une excuse ! Avons-nous vraiment fait tout ce qu’il fallait pour ne pas susciter de haine chez ces braves gens ? Interrogez-vous bande d’égoïstes privilégiés « autochtones » !
Pourtant des réponses, il y en a. Elles ne sont ni parfaites, ni absolues, mais elles sont concrètes et efficaces, elles sont en un mot « politiques ». La « récupération » politique, c’est à dire la prise en compte politique de ces actes odieux, est donc nécessaire, indispensable. Elle peut permettre de limiter les passages à l’acte et de punir efficacement les coupables. C’est pourquoi nous voulons des réponses politiques concrètes à ce « terrorisme du quotidien », nous voulons des réponses politiques pour notre sécurité et celles de nos enfants ! Et si c’est « indécent » de le dire, alors il faut l’être, sans hésitation !
Nous voulons la fin de l’immigration, nous voulons l’application pleine et entière de l’ensemble des OQTF, nous voulons le renvoi systématique des immigrés délinquants, nous voulons des peines exemplaires et sans recours pour les criminels, nous voulons la fin de l’impunité des fourriers de l’immigration clandestin, et ce malgré les leçons de morale des ethno-masochistes des beaux-quartiers maquillés en humanistes.
Il y a des pervers, des tueurs et des fous indigènes, bien sûr, qui prétend le contraire ? Raison supplémentaire de ne pas en importer via les flux massifs et permanents qui submergent l’Europe.
Nous voulons ces « indécentes » réponses politiques, non pas pas parce que nous sommes haineux et assoiffés de vengeance, non pas par idéologie, non pas parce que nous faisons des « amalgames » et des « généralités », mais simplement parce que nous prétendons, comme tout peuple sur la terre, au droit à la paix et la sécurité sur notre sol, que nous nous préoccupons des nôtres prioritairement sur le reste du monde, parce que nous nous soucions des plus faibles et des plus vulnérables qui sont toujours les premières victimes.
Xavier Eman