RN

Elections législatives: les médias publics en pointe contre le Rassemblement National. Le regard de Miège

Sans surprise, l’audiovisuel public a sorti la grosse artillerie pour alimenter sa campagne anti-RN malgré les outrances d’un « Nouveau Front Populaire » penchant à la plus extrême-gauche.

Un commentaire

  1. Il ne faut pas se nourrir de fausses espérances. Électoralement, le RN a une faible probabilité d’obtenir une majorité absolue. Ce qui signifie d’ailleurs que le pays va se retrouver dans une position inédite de blocage institutionnel et d’incertitudes dès le 7 juillet. Mais, même dans l’hypothèse d’une majorité absolue, le RN arriverait au pire moment, la France étant dans un état de quasi faillite. Les caisses ont été vidées, ce qui n’est pas idéal pour mettre en œuvre une nouvelle politique. Au reste, le RN n’est malheureusement pas le FN, lequel pouvait compter sur plusieurs dizaines d’intellectuels et penseurs de très grande qualité, politiquement formés et disposant d’un programme national solidement charpenté.
    Le vote RN présente cependant deux énormes avantages : il permet de faire progresser le mouvement national. Et il procure la jouissance de voir toute la gauche, avec ses succursales et ses idiots utiles, flipper. C’est un plaisir délicieux. Les nationalistes sont leur cauchemar. Il ne fait que commencer…
    D’autre part, selon Thierry Meyssan, la dissolution de l’assemblée nationale aurait été décidée par le milliardaire américain Henry Kravis, fondateur du fonds KKR à Wall Street, qui compte Xavier Niel comme membre de son conseil d’administration.
    Henry Kravis est un des hommes les plus riches au monde, il est membre du Council of Foreign Relations et du club Bilderberg, il a recruté à ses côtés l’ancien directeur de la CIA, le général David Petraeus, et aurait été l’un des financeurs de la campagne d’Emmanuel Macron en 2017.

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