Le Palais de Tokyo fait-il la promotion de la pédo-criminalité ?

C’est en tout cas ce que dénonce la députée Rassemblement National, Caroline Parmentier, du fait d’exposition d’un tableau abject de « l’artiste » Miriam Cahn mettant en scène une relation sexuelle forcée entre un adulte et un enfant. Au nom de la défense de l’enfance, Caroline Parmentier interpelle les pouvoirs publics et demande à la ministre de la Culture d’exiger que cette « oeuvre » soit décrochée au plus vite.

C’est en tout cas ce que dénonce la députée Rassemblement National, Caroline Parmentier, du fait de la présence d’un tableau abject de « l’artiste » Miriam Cahn mettant en scène une relation sexuelle forcée entre un adulte et un enfant. Au nom de la défense de l’enfance, Caroline Parmentier interpelle les pouvoirs publics et demande au ministre de la Culture d’exiger que cette « oeuvre » soit décrochée au plus vite.

De leur côté, « l’artiste » et l’institution se défendent en affirmant qu’il ne s’agit pas de la représentation d’un enfant.

Dans un communiqué, le Palais de Tokyo indique d’abord que « plusieurs messages d’avertissement sont disposés à l’entrée du bâtiment, de l’exposition, et tout au long du parcours pour avertir les visiteurs que certaines œuvres pourraient être de nature à heurter la sensibilité des publics » et que « l’artiste représente ici une personne adulte aux mains liées, contrainte à une fellation ». Une scène « issue du contexte de la guerre » sensée « dénoncer ses actes barbares ».

Des dénégations qui ne semblent pas beaucoup convaincre le public, le musée ayant déjà reçu un grand nombre de protestations.

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