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Répression : prison ferme pour le militant nationaliste qui avait perturbé un atelier de lecture de « drag-queens »

La justice française n’en finit plus de se décrédibiliser et d’étaler ses préjugés idéologiques. Incroyablement laxiste envers les voyous, les délinquants clandestins et autres criminels récidivistes, elle se montre à contrario d’une extrême sévérité envers les militants politiques nationaux et patriotes. Désormais, le crime de lèse-pensée dominante est en passe de devenir plus grave et plus lourdement condamné que les crimes de sang ou les agressions sexuelles.

Le tribunal correctionnel de Rennes a en effet condamné, ce lundi 9 octobre 2023, à 4 mois de prison ferme l’ancien chef de file de l’Action française à Rennes qui comparaissait pour « incitation à la haine » et organisation d’une « manifestation illégale », en marge d’un atelier sur « l’égalité des genres » animé par des drag-queens à Saint-Senoux (35), en mai dernier. De la prison ferme pour avoir osé perturber une séance de propagande « trans » ! Une décision d’autant plus scandaleuse dans un pays où les prisons sont totalement surchargées et où de nombreux dealers, voleurs et autres agresseurs ressortent libres des tribunaux, sous contrôle judiciaire ou avec des peines aménagées à domicile (bracelets électroniques). Un aménagement qui, en l’occurrence, a été refusé au militant patriote.

Quatre mois ferme pour avoir proféré des slogans jugés « choquants » et « discriminants » tels que « Moins de trans, plus de France ! » ou encore « A nos enfants inculquez nos racines, n’imposez pas les drag-queens ! ». Une énième démonstration du « deux poids/deux mesures » qui règne en France où la justice est désormais un instrument de rééducation idéologique aux mains de la gauche la plus militante.

Xavier Eman

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