Irlande

Irlande : l’union pour la « remigration » ?

En Irlande, de Cork à l’Ulster toujours partie intégrante de la couronne britannique, la réunification des nationalistes et des unionistes, les premiers trahis par le Sinn Féin et les seconds par Londres, se fera-t-elle au nom de la « remigration » des populations allogènes ?

On se souvient de la manifestation monstre qui, à Dublin en novembre 2023, après la tentative de meurtre de trois enfants par un Marocain naturalisé, avait réuni plus de 50 000 personnes. Après un nouveau meurtre en mai 2024, les Irlandais avait à nouveau manifesté en masse au sud. Et, depuis le viol le 10 juin à Ballymena (ville comptant 30% d’immigrés, Roms pour un huitième) d’une adolescente par deux Tsiganes commodément qualifiés de Roumains par les pouvoirs publics et la presse (1), c’est l’Ulster qui a explosé. De jeunes unionistes, unis à des catholiques, n’hésitent plus à affronter les troupes envoyées en catastrophe par le Premier ministre travailliste Keir Stammer. Du jamais vu en Irlande du Nord.

Bien entendu, à Londres comme à Dublin, c’est haro sur l’extrême droite, seule responsable des troubles ! Comme si ces violences ne découlaient pas du laxisme des gouvernements concernés et de leur choix délibéré de la préférence étrangère.

Un homme les avait pourtant mis en garde, en reprenant presque mot pour mot l’avertissement solennel de l’Anglais Enoch Powell sur les « fleuves de sang » qui ne manqueraient pas de déferler sur les îles britanniques sans coup d’arrêt décisif à l’immigration : le pasteur presbytérien et fervent unioniste Ian Paisley (1926-2014) dont un fidèle, John Taylor, devait rejoindre le Groupe des Droites européennes présidé par Jean-Marie Le Pen au Parlement européen. Mais Paisley ne fut pas plus entendu que ne devait l’être le président du Front national, les deux hommes étant diabolisé par leur supposé « racisme viscéral et primaire ».

On voit le résultat… 

Claude LORNE

  1. Il en est de même en France : le jeune Tsigane Olivier H., assassin le 24 avril d’un fidèle africain dans la mosquée de la Grande-Combe (Gard), fut présenté comme d’«origine bosnienne » et c’est également bosnien qu’a été étiqueté le tentaculaire réseau rom (près d’un million d’euros de profit) utilisant des gamins pour multiplier les vols à la tire dans les transports en commun et lieux touristiques de nombreuses villes de l’Hexagone.

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