Les tribunes n’engagent pas la rédaction mais uniquement leur auteur. Elles ont pour but de nourrir le débat et la réflexion.
On s’agite un peu partout, sur les réseaux, concernant le rôle des forces de l’ordre lors des manifestations contre la réforme des retraites et celles liées aux mégas-bassines, dans les Deux-Sèvres.
Certains semblent découvrir que le feu brûle : la répression policière était la même lors des trois grandes manifestations contre le mariage pour tous en 2012/2013, lors des Gilets Jaunes fin 2018/début 2019 et lors des manifestations des agents infirmiers fin 2019/début 2020. Qui s’en émouvait alors ? Bien peu de monde…
En France, il faut donc parfois dix ans pour prendre conscience de certaines réalités.
La police et la gendarmerie ne sont pas déployées pour la cueillette des marguerites : lorsque la vermine d’extrême gauche, rouge ou verte, détruit, pille et agresse, il est légitime qu’elle soit stoppée, ce qui n’était pas le cas ces dernières années, tant ces supplétifs du Système, enfants de la meilleure bourgeoisie jouant aux révolutionnaires, sont souvent très utiles pour discréditer une opposition.
Oui, la police et la gendarmerie tapent fort, d’autant que le régime de Macron passe un sale quart d’heure, panique et, pour sauver sa peau, prend des décisions aventurées (création de la BRAV-M, brigade motorisée sans formation préalable au maintien de l’ordre et dont une pétition signée par 100.000 personnes réclame déjà la dissolution), et donne des instructions tout aussi aberrantes.
Dans le cas surréaliste des bassines d’eau, les FDO ont mille fois raison de mater l’éco-terrorisme des pouilleux d’extrême gauche. Dans un pays normal, ils seraient déchus de la nationalité française et expulsés du territoire national.
Concernant la scandaleuse réforme des retraites, il aurait fallu que la majorité des Français dispose d’un peu de jugeotte avant de réélire Macron qui, comme tout un chacun devrait le savoir, est là pour exécuter un certain plan de déconstruction et le suit à la lettre. Quitte à générer crise sur crise depuis 2017.
Arnaud Robert
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