Une tribune de Jean-Claude Rolinat
Je suis atterré de voir des commerçants, restaurateurs et autres boutiquiers, se lamenter devant les saccages de leurs biens.
Que ne se sont-ils ligués, solidairement, côte à côte dans les centres commerciaux, dans les rues du même tabac, pour attendre les émeutiers, gourdin et puissant aérosol de défense à la main, avec des pancartes d’avertissement du genre, « le premier qui entre ne sortira pas debout » ? Quand les braves gens deviennent des gens braves, les bandits reculent. La légitime défense a un sens !
Face au grand nombre de « bavures », la « justice » ne pourrait pas instruire dix, cent, mille affaires !
Il parait que dans un État de droit, on ne peut pas faire justice soi-même. Soit. Mais justement, où est le respect du droit, notamment du droit de propriété dans cette violente situation ? Faire confiance à la « justice » ? Elle est partiellement livrée au Syndicat gauchiste de la magistrature, qui préférera toujours le coupable à la victime, l’ouvrier au patron, l’immigré à l’autochtone. Et puis, pour beaucoup des émeutiers, l’excuse de minorité est là. Ils ont déjà quitté les commissariats pour rentrer chez eux. Que font las parents ? Ne pourrait-on pas les toucher au portefeuille ? La canaille, dont certains de ses membres sont d’origine étrangère – même si, ici ou là, des « Gaulois » sont allés aussi à la « dépouille » – nous semble, hélas, IRRECUPÉRABLE.
C’est là le résultat de 50 années de lâcheté et d’abandon. Nous avons – nous, en tout cas ceux du Front National et membres de mouvements parallèles ou identiques, traités de « fachos » et de « nazis » par le « camp du bien » – crié dans le désert sous l’opprobre de certains de nos concitoyens, et les insultes de médias pourris : nous avons eu le tort d’avoir raison trop tôt. Les évènements actuels, sur le sujet de l’immigration, donnent totalement raison à Le Pen. Trop tard, le cancer est là, quasiment inguérissable sauf CHIRURGIE d’urgence !
Hélas, je ne vois guère de praticien politique capable de prendre le bistouri avec fermeté et détermination. Il faudrait bien pourtant en passer par là si nous voulons sauver l’essentiel : pas le pouvoir d’achat, pas l’âge de départ à la retraite, pas la semaine des quatre jours, pas le télétravail, pas les horaires flexibles, pas l’intéressement, pas le loto, pas le tiercé, non, tout simplement la France…française !
Jean-Claude Rolinat